CETTE FOIS C'EST PARTI

11 décembre 2014

Lundi 8, nous avions prévu d'arriver á Paris la veille, de notre départ, sait on jamais des fois qu'il y ait des grèves ou une météo merdique, on a eu un beau temps et les grèves étaient finies depuis la veille, mais notre train á Valence avait une demie heure de retard , heureusement la SNCF nous fait arrêter un train qui passait pour que nous soyons á peu prés á l'heure, très bien jusque la , je demande a un con troleur ( je m'apercois que j'ai apé un espace con troleur , je le laisse , c'est subliminal ) sur le quai comment on fait pour les places .et il me réponds vous vous mettez ou vous pouvez, bien, on monte on pose les valises on s'assoit où on peut , tout va bien jusqu'a Lyon , le train repart et contrôle , bon comme plein de gens , sans le savoir on s'est mis ou il y avait de la place et c'est en 1 ere , donc on doit partir en seconde ou payer un supplément c'est dit avec une telle amabilité par la con troleuse ( cette fois je fais exprès )que je lui dit qu'on a 4 grosses valises et que comme ils le conseillent á la SNCF je ne veux pas m'en éloigner, elle me dit que vu que le train roule mes valises ne vont pas s'envoler et que je reviendrai á l'arrét , je lui fait remarquer que vu que le train roule mon siège va être vide et que je ne vois pas en quoi ça la dérange que je reste la , elle me dit que c'est a cause du prix qui n'est pas le service que j'ai acheté comme si l'argent allait directement dans sa poche , je lui dis que le service que j'ai acheté c'est les places 64 et 65 dans le compartiment 18 du train qui partait á 19h12 et que si elle peut m'offrir ça j'y vais tout de suite ,elle s'obstine, je suis á 2 doigts de lui dire que si elle continue de m'embeter j'appele le contrôleur , mais je redoute que son sens de l'humour n'ai pas eu de mise á jour depuis pas mal de temps et je me lève en disant a Sophie qui n'est pas intervenue, ( bravo Sophie ) de m'attendre pendant que je cherche une place mais vu que une trentaine de personnes avaient fait comme nous je ne trouve pas de places avant le dernier wagon et comme en revenant je croise des gens qui cherchent encore je leur dis qu'il y a de la place plus loin et nous on reste á notre place , en ayant au moins gagner une encore plus grande satisfaction á nous éloigner de cette France si belle ou les administrations et les politiques stupides á force de vouloir nous racketter nous pourrissent un peu plus la vie chaque jour

On arrive á Paris dans un hôtel première classe aux matelas inexistants et aux chambres qui sentent l'humidité et le lendemain matin après un petit déjeuner qui rachète la nullité de la chambre on pars prendre notre avion

Posté par louistours2013 à 02:41 - Commentaires […] - Permalien [#]